La nouvelle génération de la FinTech s’implante en Europe

La nouvelle génération de la FinTech s’implante en Europe post thumbnail image

Avec l’évolution de la technologie, quelques compagnies qui travaillent dans la finance ont commencés à utiliser les technologies de l’information et de la communication pour livrer leurs services.  On appelle ce domaine d’activité la Fintech.  Depuis quelques temps, une nouvelle génération de la Fintech s’implante en Europe. Mais de quoi s’agit-il exactement ? Pourquoi la FinTech n’en finit plus de faire couler de l’encre ? On vous repond sur cet article !

La Fintech, c’est quoi ?

Comme cité en haut, c’est un domaine d’activité dans lesquelles des compagnies qui travaillent dans le secteur financier utilisent les technologies de l’information et de la communication pour satisfaire leurs clients. Banque en ligne, paiement mobile, financement participatif, ce sont tous des services retrouvés dans la FinTech. Et en général, ces entreprises ont vu le jour grâce à des personnes qui n’ont pas été satisfait des services d’une banque par exemple à cause des procédures à suivre, des frais.

Les banques sont sous la menace de la Fintech

Comme la Fintech est souvent le produit d’un mécontentement d’un client, ces start-up ont tachées d’améliorer à la loupe les services qu’ils vont proposer à leurs clients. Dans notre époque où l’internet et le smartphone ont pris une grande place dans nos vies quotidiennes, c’est un grand avantage pour la FinTech. Maintenant, on peut avoir accès à une banque en ligne, et même au mobile-banking. Ce dernier consiste à avoir une application d’une banque en ligne dans son smartphone ce qui fait que la proximité est au rendez vous avec une facilité d’utilisation, de gestion, des rapports instantanés et d’autres options aussi exceptionnelles les unes que les autres. Certaines ont même été en partenariat avec une banque traditionnelle mais au fil du temps, ça a pris fin, elles pouvaient voler de leurs propres ailes (comme la pépite Number26 ). Ces facteurs démontrent que la FinTech tient un avenir prometteur et les banques seront les premières victimes de son apogée.

 

 

Les start-up qui ont commencées à envahir l’Europe récemment

Récemment, plusieurs Start up FinTech ont commencées à s’élargir dans chaque coin d’Europe. Aussi efficace les unes que les autres, la plupart de ces Start up ont connues un franc succès en un moins de temps

  • Number26 ou N26

N26 est d’origine Allemande. Elle a été fondée en 2013, par Valentin Stalf et Maximilian Tayenthal, mais ce n’est qu’en 2015 qu’elle a commencé à s’élargir dans 8 pays d’Europe. Avec un début flamboyant, la Number26 est une banque en ligne, plus précisément un mobile-banking qui a séduit  plus de 100.000 utilisateurs en 12 mois.  Inscription gratuite en quelques minutes, carte bancaire gratuit, transfert d’argent gratuit, et une notification à chaque opération en temps réel, la N26 est une petite banque qui veut ringardiser les grandes.

  • Verse

Verse est une Start up FinTech espagnole qui se focalise dans le paiement entre particuliers. Fondée par des jeunes ingénieurs en février 2016, elle a déjà cumulée plus de 10 millions d’euros. Avec Verse, envoyer de l’argent à un ami sera comme envoyé un sms. Il suffit d’enregistrer son numéro de carte bancaire, de taper le montant et le contact et voilà. Le destinataire recevra un message pour l’inscrire sur Verse s’il n’est pas encore membre mais dans le cas contraire, le montant sera juste affiché sur son compte.

  • SETL

SETL est une start-up britannique a développée une blockchain privée. Son objectif c’est de déplacer des millions voire des milliards de transactions journalières et de déplacer des produit financiers réels. Ces derniers peuvent être des titres financiers ou de la monnaie d’une banque précise. Les ingénieurs n’ont pas optés pour le bitcoin ce qui de SETL la petite protégée des banques centrales dans le pays hôte.  Sa vitesse de transaction est mesurée à 80.000tps. De quoi à rendre jalouse la compagnie Visa qui détenait le record de 57.000tps.

La cybercriminalité, l’ennemie n°1 de la FinTech

Vu que la FinTech utilise généralement internet,  la sécurité peut se laisser à désirer. Même si les start-up forment les meilleurs pare-feux pour la sécurité des clients, il se peut toujours qu’il y a une faille dans le système. C’est peut être sur ce point que la banque traditionnelle gagne un peu de terrain face à cette phénomène car un de ses points forts, c’est la gestion du risque.

Bref, la nouvelle génération de FinTech qui va s’installer en Europe promet un avenir flamboyant dans le secteur financier que ce soit la banque en ligne, le paiement par mobile ou un financement participatif.  Mais l’avenir nous dira ce que la FinTech va devenir car on sait tous à quel point un site web ou une application peut être facilement piraté pour les cybercriminels.

Related Post