Le rachat bancaire des établissements financiers en ligne par des banques physique est l’une des techniques qui tend à préserver la notoriété de ces enseignes traditionnelles. Sur ce, les banques en lignes (à part N26, Révolut, Anytime,) sont à l’origine des établissements financiers pratiquement indépendant. Elles ont chacune eu leur petite historique avant de devenir de vrai compte courant pouvant garantir des services financiers et des offres diverses.
Historique des banques virtuelles
La plupart des banques virtuelles sont au début des institutions incomplètes car elles se sont autrefois focalisées sur des bourses en ligne ou se sont isolées pour servir de compte simple. La plupart d’entre elles ont vu le jour vers les années 90. Certaines d’entres elles sont des filiales ou des groupes banques traditionnelles mais d’autres ont été crées par des sociétés indépendantes. Autrefois leur nom était différent puis les actions appartenaient à des fintech intégralement autonomes. Mais actuellement ces sociétés ne possèdent que 5% à 10% des capitaux dans les banques en ligne qu’ils ont tant conçues. Il y en a même qui ont laissé leur créateur derrière eux car les banques classiques ont pris le monopole des actions.
Ces établissements traditionnels qui veulent conserver les avantages des deux institutions monétaires souhaitent mettre en place la cohabitation de ces établissements. Les objectifs sont de veiller sur des clients types. Je vous invite à voir dans ce site les vertus des portefeuilles virtuels.
A signaler que le célèbre opérateur téléphonique autrefois nommé France télécom est le seul qui montre son autonomie à travers Orange Bank. Cette décision de confrontation dans le marché monétaire engendre certes des opportunités pour la société Orange tout comme elle peut l’impacter faute d’absence d’expérience.
Qui dépend de qui alors ?
Comme il est annoncé au début que les banques en ligne ont été rachetées à tour de rôle, on va connaître qui chapeaute qui.
Boursorama est parmi ceux qui possèdent le talent de séduire la clientèle ; ce n’est pas étonnant car c’est le célèbre Société Générale qui est derrière lui à partir de l’année 2005. Monabanq est le plus étonnant non seulement car il est le meilleur service client mais qu’en plus il n’impose aucune condition de revenu. Cette intuition créée en 1987 par l’entreprise Covefi du groupe Cofidis qui lui-même est une filial du Crédit Mutuel CIC. Son précurseur qui a repris le nom Monabanq en 2006.
La banque Néerlandaise ING aussi n’a pas voulu être à la traine car en 2000, elle détient son propre groupe dont ING Direct.
Pour rivaliser avec les entités virtuelles, BNP Paribas a un peu tardé à créer la sienne. D’où le célèbre banque mobile Hello bank qui a vu le jour en 2013.
La cour des grands n’en serait pas une si les grands classiques ne possèdes pas ses propres filiales virtuelles. Ainsi c’était le tour de Fortunéo qui subit un rachat effectué par le Crédit Mutuel Arkéa en 2006.
Les avantages de la dépendance de Monabanq au CIC
Avec ce système de rachat, les banques deviennent authentiquement en ligne car via leur site, tous les mouvements courants deviennent un jeu d’enfant. Il y a quand quelques limites en ce qui concerne le chéquier et la carte bancaire. Car malgré leur endossage sur les caisses physiques, Fortunéo, Boursorama, Bforbank, C-zam, ING et assimilés ne permettent pas un dépôt de chèques et retrait de carte bancaire auprès de leur agence respectif. Il faudrait passer par un courrier pour ce faire.
Il faudrait créer un compte chez Moanabanq ou Hellobank pour pouvoir bénéficier ce profit.
Déposer un chèque est devenu un jeu d’enfant pour les clients de la banque moins imposante telle que Monabanq. Il convient juste de se rendre auprès d’une agence CIC pour accomplir la mission.
En tout, les banques en ligne maintiennent leur réputation grâce aux actions des banques traditionnelles. Or créer votre compte dans un portefeuille en ligne qui a déjà eu l’aval complet de son établissement traditionnel.